Magdalena D. Mandrake _ Oh my God 1oo%

« Nous venons d’apprendre que Hana Blume n’aurait pas été volé, attaquer, et violé par son père mais par une jeune fille de 18 ans. Magdalena Dawn Mandrake. Jeune adolescente parisienne et milliardaire. Plaidant son innocence après avoir découvert les preuves qui la rendaient coupable, elle est en ce moment en garde à vue en attendant plus de témoignages qui pourraient l’envoyer en prison. Nous avons envoyé un de nos reporters qui a interrogé sa cousine Mathilde Alison Mandrake.

« R : Pouvez-vous nous parler de Magdalena s’il vous plaît ?
M. A. Mandrake : C’est une fille pas très raisonnable certes, mais elle n’est pas capable d’une chose pareil. Elle fait du mal autour d’elle mais ne serait en aucun cas assez dégourdi pour aller jusqu’à violer une jeune femme. De plus, Maggy n’est en pas homosexuelle et je ne vois pas comment elle aurait pu avoir une certaine pulsion pour faire des attouchements à une femme.
R : Où sont ses parents ? Elle est majeure, mais les parents sont-ils au courant de cette histoire ?
M. A. Mandrake : Ecoutez. Si ils préfèrent continuer à gagner de l’argent plutôt que de venir défendre leur fille c’est leur problème. Pour l’instant, il n’y a que moi. Si les parents de ma cousine arrivent vous leur demanderez la cause de la retard !
R : Ok. Que pense Magdalena Dawn, votre cousine, de tout ça ?
M. A. Mandrake : Que voulez-vous qu’elle en pense ! » »

La France était sous le choc. Le premier mercredi du mois, Magdalena fut mit en garde à vue pour une chose qu’elle n’avait pas commise. Horrifié par ce qu’il arrivait, elle espérait au moins voir la tête de ses parents désespérée, effrayés de voir leur fille sur le point de partir en prison. Mais rien. Ses parents étaient à New-York, ils travaillaient dans le show business de la marque M.. Ces deux là formaient un très beau couple d’après tout le monde. Sauf leur famille. Pourquoi, parce que derrière leur masque de bon riche, sympathique, toujours à offrire de l’argent aux démunis ect … Ils ne s’occupaient que d’eux. Des vrais hypocrites. Au lieu d’avorter, la mère de Magdalena avait préféré faire la pauvre petite maman malheureuse qui avait perdu son enfant, pour garder une bonne image, et continuer à vendre des vêtements et des bijoux. Mais en réalité, sa grossesse fut une période de sport, de vomissements, toutes choses pour perde l’enfant qu’elle portait. Cruel ? Oh oui. C’est peut-être d’elle qu’avait hérité Magdalena et son caractère.

Un gros policier s’avança vers la chaise où était assise la jeune brune, tête baissée en regardant ses chaussures à talons. Celle-ci releva la tête, cligna des yeux car il se trouvait juste au coin de la lampe qui lui brillait dans les yeux.

LE POLICIER_ « Je t’éblouie princesse ? »
MAGDALENA_ « Je dirais plutôt que tu me donne la nausée … gros porc » ajouta-t-elle tout bas
LE POLICIER_ « Tes parents ne sont pas là ? Oh ! Mais tu es sûrement un simple meuble pour eux ! Excuses-moi. Je vais essayer de les joindre. Mais si ils ne veulent pas, je ne vais pas les forcé. Défendre une personne comme toi c’est difficile. Même si tu es leur fille. Enfin, tu n’as pas été voulut, donc, tu n’es pas considéré comme leur descendante … »
MAGDALENA_ « Ta gueule ! »
LE POLICIER_ « Mais c’est qu’elle m’insulte la jolie ! Retires ça ! ajouta l’agent avec un air féroce. »

Après un long silence, Magdalena se força à s’excuser et l’interlocuteur, ici le policier, la laissa tranquille.

Enfin toute seule, Do baissa la tête. Une larme lui parcourut la joue. Le policier n’avait fait que remuer de mauvais souvenir à l’égard de ses ascendants. Elle ferma les yeux et repensa à un moment de sa vie, où sa cousine Mathilde lui expliqua la grossesse de sa mère. Ce jour là, Maggy avait complètement ouvert les yeux sur ses parents et était devenus une vraie peste. Son comportement de Bitch venait-il du comportement de sa mère ? Elle se le demandait des fois.



Alors que les journalistes se battaient pour avoir « la » photo de l’accusée, Magdalena sortait, la tête caché par une petite veste de soie, de la longue voiture qui la déposait devant le tribunal de Paris. Elle allait devoir faire fasse aux accusations dont on l'imputait. Elle n’avait jamais rencontré la victime et niait toute connaissance avec celle-ci. Par ailleurs, elle avait rencontré, pour la première fois, l’avocat de la famille qui lui avait annoncé, dès le départ de l’entretient, que ça serait difficile pour se défendre devant l’avocat que la victime avait. Maggy ne comprenait pas toujours bien ce qu’on lui demandait. Il fallait être sereine, mais s’énerver si abusait trop d’elle. Elle était très stressée. Nerveuse même. Elle ne savait pas comment une audience se déroulait et redoutait un emprisonnement. Elle était jeune, et elle avait la vie devant elle ! Ce n’était pas le moment de faire de la prison. Surtout avec l’argent qu’elle possédait, sa vie était déjà toute tracé !

Quand elle pénétra à l’intérieur du bâtiment, ses jambes tremblaient. En général, elle n’avait peur de rien. Ce n’était vraiment pas la petit fille chochotte de Paris, loin de là. Elle était la princesse de la capitale, et ce procès n’était pas bon pour sa réputation. C’était sûrement de ça qu’elle avait le plus d’effroi. La jeune brune scruta les alentours, essayant de trouver son père, ou sa mère. Mais tous les visages lui étaient inconnus. Ce qui ne la rassura guère. De plus, elle était en période de règle. Et quand elle les avait, elle prenait des crises de mal de ventre, elle ne tenait pas plus de 10minutes en ayant mal. Et, c’est bien connut, quand les femmes sont dans cette période, elles sont très énervées, et se fâchent pour rien. Magdalena essayerais de se calmer, mais ce sera très difficile, pensait-elle. Elle savait que son avocat était de très bonne « qualité », si on peu parler de qualité, car ses parents doivent le payer cher.

Do avait entendu que les présidents sont souvent passé par l’étape « avocat ». Une question lui trottait dans la tête. Et si son avocat devenait président. Tout serait plus facile ! Hum … C’est vrai que quand elle est stressée, Maggy se pose beaucoup de question débile, inutiles. Elle ouvrit la bouche pour lui poser la question, mais il lui adressa la parole avant elle.

L’AVOCAT_ « Les gens rentrent. C’est enfin l’heure de vérité Mlle. Mandrake. Etes-vous prête ? Enfin, de toute façon, prête ou pas prête, il faut y aller. Courage ! »

En réalité, Magdalena était prise par surprise. Elle ne s’attendait pas du tout que le moment venu serait arrivé à une telle vitesse. Son cœur commença à battre très fort quand elle entra dans la salle. Elle resta droite, et fit sa tête de surd’elle. Très bonne comédienne, car elle était très nerveuse mais ne le faisait pas apparaître sur son visage. Elle adressa un sourire aux jurés. Certains lui répondirent, d’autre restèrent neutres. Elle voulait usé de son charme afin d’être libéré, mais son avocat lui avait ordonné que non. D’un côté il avait raison, la majorité des jurés étaient des femmes. Vu qu’on l’accusait de viole sur femme. Elle n’allait sûrement pas dragué des femmes pour être innocenté ! Cela serait incompréhensible et vraiment chétif.

Le juge commença par présenter l’accusé. Magdalena. Il retraça vraiment son histoire. Commençant par sa naissance un vendredi 13 juillet 199o.

LE JUGE_ « Magdalena Dawn Mandrake est la fille de Adam et Katie Mandrake. Elle naquit un vendredi 13 juillet 199o. Elle fut leur seule enfant. Les parents ne sont pas présents aujourd’hui »
MAGDALENA_** Et où sont les parents de Magdalena Dawn Mandrake ? Et bien en train de se faire du frique pendant que leur fille est accusée ! **

Quand le juge parlait, Magdalena ne pouvait s’empêcher de compléter dans sa tête. Un certain sentiment de dégoût l’emporta alors que le juge continuait sur son entré à l’école.

LE JUGE_ « Elle entre en maternelle à l’âge de 3ans. Petite, elle écoutait attentivement les conseils des professeurs. Elle était une très bonne élève niveau comportement, mais niveau intelligence, elle manquait beaucoup d’expérience. Est-ce que ses parents l’avaient trop gâtée ? Se demandait la psychologue qui l’a suivit durant ses années scolaires. »
MAGDALENA_** Gâtée ? Pf, plutôt oubliée ! **
LE JUGE_ « En chamboulement inconnu et total dans la vie de Magdalena vint désorienté la jeune fille âgée de 12ans. Elle entre au collège et devient une peste. Oui ce mot lui allait parfaitement. Elle était supérieur aux autres, et était comme, une reine dans l’établissement. »
MAGDALENA_** Une découverte, pas un chamboulement !! Et puis, jme faisait juste respecter ! Hihi **
LE JUGE_ « Elle tomba dans la boulimie à l’âge de 15ans. Elle vivait seule, loin de ses parents. Désorienté ? Ou simplement adolescente ? »
MAGDALENA_** Simplement adolescente déprimée d’avoir des parents pourris.**
LE JUGE_ « Aujourd’hui, o6 Septembre 2oo8, elle est accusée d’avoir violé, volé, attaquer violemment Hana Blume assise à ma droite. »

Maggy tourna la tête. Et fut surprise de trouver une ancienne ennemies enfantines. Do la dévisagea avant de la regarder de haut en bas. Comme si elle l’a dégoûtait. Elle n’avait vraiment rien dans la tête. Pourquoi l’accusé alors qu’elle n’avait pas eu de nouvelles depuis des années ? Elle se re-retourna pour regarder dans les yeux le juge qui changea vite d’endroit à regarder. Un sourire mauvais s’afficha sur les lèvres de Magdalena. La guerre ne venait que de commencer. Et Maggy comptait bien la gagner.

Epilogue

Ce n’est pas la peine de vous faire un dessin. Magdalena fut mis en prison. Mais elle n’y resta pas plus de deux jours. Ses parents la firent sortir de prison vite avec de l’argent. Ce n’était pas pour leur fille, mais plutôt pour leur côte de popularité qui baissait. Ils se déclarèrent comme de bons parents et sortirent leur chère petite fille adorée de prison par amour. Elle fut innocenté grâce à l’argent. Magdalena à une vraie réputation et était connue de toute la France. Aimé par beaucoup de personnes, détester de quelques uns.